L'ambivalence d'Annabel : au fond d'elle un lapin (apeuré ?) qui répète "please" (please what ?), quelquefois "protégé" en surface par une ourse qui n'a pas l'air commode (car elle est aussi une guerrière : forte, libre et indépendante).
Est-ce que notre ruine ne profite pas à nos penchants destructeurs ?
1 commentaire:
L'ambivalence d'Annabel :
au fond d'elle un lapin (apeuré ?) qui répète "please" (please what ?), quelquefois "protégé" en surface par une ourse qui n'a pas l'air commode (car elle est aussi une guerrière : forte, libre et indépendante).
Est-ce que notre ruine ne profite pas à nos penchants destructeurs ?
Enregistrer un commentaire